Lors de la célébration du centenaire de la prise d’Alger, Rotival, urbaniste en vogue à cette époque, déclare alors que naissent les premiers bidonvilles : «Nous plaçons le centre des affaires de la cité à l’emplacement du nouveau terre-plein, qui, comme à New-York, se trouve face à la mer (…) ce quartier doit nécessairement recevoir des gratte-ciel… Du large, apparaîtront quatre tours de 150 mètres de hauteur… Plus tard, il y en aura dix…». Ainsi, cette déclaration incarne l’espoir des français placés en Alger dont ils veulent faire une ville centrale incarnant la puissance de la France.
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